« Une Vie de Bohème, Une Vie en Poème »
Sous l’azur du silence, loin des échos numériques,
Une vie de bohème, pure et authentique.
Se déconnecter des réseaux bruyants,
Pour se connecter à l’instant présent,
Être soi, sans artifice, sans masque imposé,
Loin des écrans, dans l’ombre de l’authenticité.
Se déconnecter pour mieux se reconnecter,
À l’essence de soi, à la vie, s’aimer.
Libéré des fils virtuels, des réseaux entremêlés,
La nature et les gens, sans filtre, en lumières dévoilées.
Se connecter au monde, sans la barrière des pixels,
Vivre vraiment, loin des artifices, des artificiels.
Sages sont ces instants,
De jeter nos montres et prendre le temps…
Se déconnecter pour mieux se reconnecter,
À l’essence de soi, à la vie, s’aimer.
Johanna Galvez, Février 2024
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« Terre Mère »
Sous les chênes anciens, pieds nus sur cette terre,
Je me connecte à toi, notre Terre Mère.
Écoutant le souffle du vent, le murmure des rivières,
Ils me délivrent tes secrets, tes plus belles prières.
Source de toute vie, gardienne de nos vies,
Dans tes bras qui m’accueillent, je suis en harmonie,
Connectée à l’essence même de notre existence,
Je respire ton souffle, et comprends tes silences.
Plus j’avance, plus je te ressens vibrer,
Dans chaque pas, je me sens m’élever.
Tu m’enseignes la patience et me montres la Beauté,
Je retrouve la paix, la sérénité et la clarté.
À travers les chants des oiseaux,
J’entends au loin son écho,
Les cris du chêne d’or,
Gardant ses mystères en son trésor.
Il me supplie de revenir, ses secrets il veut me dire…
Connectée à toi, je suis chez moi,
Dans cette communion, je retrouve ma voie
Sans hésitation, je trace mon chemin,
Je vois la beauté et la force de mon destin.
Johanna Galvez, Mai 2024
« Le Grand Bleu »
Ses marées dansent, guidées par une prière,
Un chant qui relie le sel, la lune et la terre.
Chaque vague est une phrase écrite à l’encre du vent,
Un poème sans fin, sauvage et apaisant…
Il murmure des secrets à votre âme égarée,
Lorsque ses mains tendues, viennent vous effleurer.
Dans son silence profond, je trouve ma voix,
Comme s’il savait tout, même ce que j’ignore de moi.
Ses vagues, embruns des caresses,
M’attirent comme un rêve, une douce ivresse.
Il a cette force qui fait trembler la terre,
Mais dans le creux de mes mains, je sens toute sa délicatesse.
Je chavire dans son abîme, un pas de plus,
Comme si ses remous murmuraient : « Ne t’en va plus. »
L’Océan, cette connexion, cet infini miroir,
Il est mon départ, mon retour, mon espoir.
Johanna Galvez, Janvier 2025
