
« l’Alchimiste et le Soi »
Dans le temple secret des âmes éclairées,
L’Alchimiste et le Soi se rencontrent en sacré,
Leur savoir-faire fusionne en une danse cosmique,
Explorant les mystères de la physique quantique.
Les possibilités infinies naissent dans l’être éveillé,
Où l’essence même de la matière se transforme en doré,
Les particules dansent dans un ballet éthéré,
Révélant les secrets de l’Univers sacré.
L’alchimiste, maître des éléments et des transmutations,
Mélange les métaux, découvre les vibrations,
Le temps et l’espace perdent toutes leurs notions,
Dans les profondeurs, l’infiniment petit et l’infiniment grand.
Le Soi, gardien de l’essence et de la lumière,
Éclaire le chemin de la conscience claire,
Puissance intérieure, source de vérité,
Dévoile les mondes cachés, les réalités.
Dans ce champ des possibles, tout devient réel,
L’infini se courbe, s’étend sous le ciel,
L’Âme agit, opère et se réalise,
Dans l’alchimie du cœur, où tout se matérialise
Johanna Galvez, Juin 2024
Sous le ciel d’Égypte, le Nil doré,
Les anciens savaient, les vérités sacrées
Des mystères profonds sur la vie éternelle,
Sur l’univers vaste et son ordre immortel.
Leurs temples sacrés, gravés de mystères,
Racontent des histoires de mondes stellaires,
Où l’âme, libérée de son enveloppe mortelle,
Traverse les étoiles, vers l’univers éternel.
Ils connaissaient les cycles du soleil et de la lune,
Les secrets du cosmos, des dieux et des dunes,
Du pouvoir du cœur, organe divin,
Porte de la vérité, juge du destin.
Le cœur, pour eux, était la clé,
Le centre de l’être, là où tout né,
Création, guérison, et pure intention,
Guidant l’âme vers sa divine ascension.
Leurs connaissances sacrées, préservées avec soin,
Traçaient des chemins vers les champs divins,
Où l’âme, après avoir pesé son cœur,
Rencontrait la balance, la vérité sans peur.
Les Égyptiens savaient, d’une foi absolue,
Que le cœur, quand pur, pouvait tout voir,
Dévoiler les mystères de « l’Uni-vers un connu »,
Et guider l’âme vers l’éternel pouvoir.
Ainsi, dans le sable du désert et les étoiles des cieux,
Ils ont écrit des récits de vie, de mort, de feu,
Des histoires sacrées, d’un temps lointain,
Où le cœur, la création, et l’univers ne font qu’un.
Johanna Galvez, Septembre 2024

« Vérités Sacrées »

« Parfaitement Parfait »
Et si l’humain avait, par sa vision étroite,
Déformé les lois que l’univers déploie,
Voyant dans celle de la polarité une lutte éternelle,
Alors qu’elle n’est qu’une danse douce et belle ?
Il croit que le mal doit répondre au bien,
Que la cruauté justifie ses moyens.
Mais peut-être que la vérité existentielle,
Se trouve dans la lumière éternelle.
Sur Terre, nous voyons le froid, le chaud,
Le bien, le mal, la lumière et l’ombre en écho.
Mais dans l’univers où l’obscurité se pose,
Y voit-on vraiment l’absence ou bien autre chose ?
Peut-être l’ombre est-elle une autre lumière,
Une forme de l’éclat, un mystère.
Et sur d’autres mondes, que le froid étreint,
La vie prospère, même dans cet écrin…
Les mathématiques, avec toute leur sagesse,
Nous murmurent des secrets, en finesse.
Zéro, symbole de la paix, du neutre et de l’équilibre,
S’accouple en joie avec le 1, lumineux, libre.
Et dans leur suite infinie,
Fibonacci prend son élan,
Et nous montre que de rien naît le grand,
L’univers s’expanse, créatif, infini !
Utopique, dirons certains, mais après tout,
L’univers, lui, est parfaitement parfait dans son Grand tout…
Johanna Galvez, Septembre 2024